mercredi 29 juin 2016

Conseil municipal du 27 juin 2016-06-29 (question diverse)


Voici la « question diverse » que j’ai posée à l’occasion de ce conseil municipal :

« Quel est le coût engendré par la mise en place des nouveaux rythmes scolaires »

Dans le numéro du mois de mai de Gagny Magazine, vous aviez indiqué, en ce qui  concerne l’instauration des nouveaux rythmes scolaires un surcoût de 3.204 657 € alors que nous n’avons reçu que 231.050 €.

Ayant pris conscience de cette erreur de rédaction, vous avez publié dans le numéro de Gagny-Mag du mois de juin un rectificatif en écrivant : qu’il s’agissait de la totalité des frais de fonctionnement des « affaires scolaires ».

Ce que vous n’avez pas mis fait donc l’objet de ma question :
Quel est le surcoût réel qui résulterait de la mise en place de ces nouveaux rythmes  que l’on pourra ainsi rapprocher des 231.050 euros perçus.

La réponse du maire a été de dire que tout le monde sait que cela coûte très cher pour les communes comme l’a souligné l’association des maires de France.

Quand je lui ai précisé ma question concernant Gagny  et lui indiquant que la fréquentation de la demi-journée du samedi matin  n’était pas comparable à celles des mercredis, il a répondu qu’il ne disposait pas des chiffres et qu’il demandait à ses services de faire les calculs.
Il faut espérer qu’à la rentrée ses chiffres seront disponibles malgré l'absence d'une comptabilité analytique.


Pour en savoir plus sur ce sujet, lisez mon article à ce propos en cliquant ici

mercredi 22 juin 2016

mardi 14 juin 2016

L’ERRATUM dans Gagny-Mag de mai 2016

Dans le Gagny-Mag du mois de juin 2016, un « ERRATUM » est publié dans le bas de la page 5:


Cette erreur, je l’avais signalée dans un article que vous pouvez, en cliquant relire


Ecrire que le montant de 3.204.657 € ne correspond pas à l'augmentation des coûts résultant de la mise en place des nouveaux rythmes scolaires est une chose mais ne pas rectifier l’erreur pour indiquer le coût réel  à mettre en balance avec les 213.050 € versés par l'Etat est un manque d’honnêteté intellectuelle ou plus simplement résulte de l'absence d'une comptabilité analytique que j'avais déjà dénoncé à plusieurs reprises.

Alors, quel est le surcoût réel pour notre commune de la mise en place des activités périscolaires dues aux nouveaux rythmes scolaire ?

vendredi 10 juin 2016

Gagny-Mag juin 2016 Tribune des élus d'opposition

Le PLU, qu’en est-il ?

En 2016, notre commune se dotera peut-être de son Plan Local d’Urbanisme qui viendra remplacer, enfin, le Plan d’Occupation des Sols approuvé en 1992 et cela après une procédure de près de plus de 15 ans et une annulation du précédent projet pour non respect des règles de droit.
La majorité municipale nous propose aujourd’hui un projet tourné vers le passé qui ne permettra pas à notre commune d’atteindre les objectifs de développement nécessaires  pour faire de Gagny une ville attractive. L’objectif porté par la majorité  municipale de 45 000 habitants à l’horizon 2030 correspond à un objectif minimal  imposé par les contraintes du SDRIF (Schéma Directeur Régional d'IDF) et du Grand Paris et non à une volonté de développement de la ville. Les outils proposés pour y arriver, reposent pour l’essentiel sur la densification des secteurs pavillonnaires ; la mobilisation d’emprises nouvelles, permettent à peine, selon les études qui nous sont proposées, de stabiliser la population à son niveau actuel.

Côté environnement, l’avis du 17 mars 2016 des services du Préfet est clair. L’état des milieux naturels est imprécis, les enjeux ne sont pas limpides et hiérarchisés, des constructions sont envisagées dans les emprises des carrières classées aujourd’hui en zones très exposées, inconstructibles en l’état, bref un projet brouillon comme l’ensemble des documents constituant le futur PLU.

Côté équipements publics, les ambitions sont inexistantes, même si nous saluons la  création d’un équipement scolaire ou périscolaire dans le quartier de Maison Blanche, ce qui permettra de satisfaire aux nouvelles demandes et aussi de rééquilibrer l’offre sur le territoire. Mais qu'en est-il de la petite enfance ? Rien. Alors que l’analyse préalable montre des besoins criants sur notre ville ainsi qu’une mauvaise répartition de l’offre sur le territoire, alors que toutes les études démontrent que le taux d’équipements petite enfance est un facteur essentiel de l’attractivité des familles, la réponse apportée par la majorité, nous conduit à nous interroger sur la place donnée, aux familles Gabiniennes.


Nous poursuivrons cette analyse dans un prochain numéro de Gagny Mag.
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NDLR

Si la rédaction de Gagny-Mag respecte la taille des colonnes réservées à la majorité municipale et à l'opposition, il n'en est pas de même en ce qui concerne la taille des caractères utilisés. 
Comment peut on qualifier cette façon de faire ? Enfantine ou mesquine.
A vous lectrices et lecteurs d'en juger.

jeudi 2 juin 2016

Stop pub téléphonique est mis en place

Le site internet bloctel qui va permettre de ne plus être dérangé, sur son téléphone, par des appels publicitaires est ouvert, comme prévu, depuis le 1er juin 2016
Vous pouvez cliquer sur ce lien pour y accéder 
Pour bénéficier de ce service, il faut bien entendu s'inscrire et indiquer tous les numéros de téléphone fixe et mobile.
Ce service ne concerne que les téléphone. Vous continuerez à recevoir les pubs sur vos adresses mail.

Ce service, entièrement gratuit pour les consommateurs, a été mis en place dans le cadre de la loi du 17 mars 2014 introduite dans le code de la consommation.
Les  numéros de téléphone seront interdit de pub  pour une durée de 3 ans à partir de sa confirmation d’inscription. Il sera possible de supprimer cette inscription à tout moment.
Les réclamations, au cas où vous seriez importunés par des appels commerciaux, et dans des cadre bien défini :
Une fois inscrit, un espace personnel vous sera dédié sur le site "bloctel" pour vous permette de remplir le formulaire de réclamation.
Votre réclamation sera transmise aux agents des services de la Direction générale de la concurrence, de la consommation et de la répression des fraudes (DGCCRF)  afin qu’ils traitent votre réclamation.
Reste à savoir si les sanctions, notamment pour les "arnaqueurs téléphonique",  seront suffisamment dissuasives.